« Etienne Chouard, je l’ai entendu à la radio l’autre jour, c’était bien ce qu’il disait sauf quand il disait qu’il fallait arrêter de parler de sport, de télé ou de choses pas sérieuses pour ne parler que de politique, de changer la Constitution et tout ça, là il exagère… On y va ? ». Et pourquoi pas ? Peut-être parce qu’à cette conversation matinale avec ma copine se superposait le souvenir de deux pages dans le Nouvel Obs dépeignant le personnage comme un faux gentil, un tribun typiquement « populiste » (l’adjectif indispensable quand il s’agit pour les élites de se défendre face à des idées qu’elles ne veulent pas voir se diffuser), et, bien pire, un soutien d’Alain Soral et de son mouvement Egalité et Réconciliation, douteuse idole du web classé à l’extrême-droite, antisémite avéré.

« Au moins, ce qui est intéressant avec ce mec, c’est qu’on sait pas trop si on va être d’accord ou pas avec lui… » Arrivé au Lerchenberg ce 28 février, je retrouve une amie, et puis une jeune candi...

 

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