(Quelques hypothèses incongrues à propos de l’attentat de Strasbourg, en réponse à l'article de G. Federmann)

Vouloir comprendre est légitime. Et chercher à comprendre, ce
n'est évidemment pas excuser. Les « monstres sociaux », aussi
étrangers qu’ils paraissent à notre civilité si modestement policée, dont les interactions
sociales sont parfois si déplaisantes, sont assurément les membres de la
famille humaine, aussi détestable puisse-t-elle être parfois.

Et s’ils ne sont pas comme
nous, ils nous ressemblent pourtant par nombre de traits conjoints. De ce fait,
il parait bien inutile, et même illusoire, de tenter de dépeindre M. Chekatt,
le tueur de Strasbourg, comme l’exécuteur stipendié d’une sorte de pandémonium pour
humains frelatés, peuplé par des escouades de monothéistes forcenés et
fanatisés, qui essoreraient les cervelles de leurs adeptes, par le truchement de
techniques d’endoctrinement religieuses à l’efficacité redoutable, et dont la
seule mission révélée c...

 

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