« Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent » : la fameuse phrase d’Edgard Faure qui s’y connaissait en retournement de veste, devient la devise préférée de nos femmes et hommes politiques locaux. Car changer d’avis et de canasson à un tel rythme devient un exercice à la limite du supportable !

 
Philippe Richert, le derviche-tourneur !
Vous avez sûrement été déjà impressionné par ces danseurs qui, portant une grande jupe ample, tournent sur eux-mêmes jusqu’à l’atteinte d’une transe psychologique. D’abord, notre grand président régional, en pinçait pour Nicolas Sarkozy, favori des primaires de la droite. Puis, les sondages donnaient Juppé favori. Eh bien, notre Philippe Richert offrit ses services au maire de Bordeaux… qui les déclinât majestueusement. Retour à Sarkozy en croisant les doigts pour que les sondages aient tort. Ce qui fut effectivement le cas : en catastrophe, Richert devint « fillioniste ». Cela, c’était avant que ne surgisse Pénélope. Vent mauvais ...

 

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