Vendredi 22 juillet, fin d’après-midi : on apprend qu’à Munich une fusillade vient de faire neuf victimes. Immédiatement, la presse française, dont L’Alsace, conclut qu’il s’agit d’une attaque terroriste. L’éditorialiste M. Bodin, le journaliste M. Fluckiger, savent déjà qu’il s’agit d’un attentat « islamiste » et publie des informations qui s’avèreront être fausses dès le lendemain. Les lecteurs de L’Alsace ont donc été floués… Mais aucune excuse ne leur est adressée le lendemain, aucun mea-culpa de ces deux rédacteurs… Ils sont bien le reflet de la « presse officielle » française, celle qu’on peut lire sans pour autant la croire…

Un de nos lecteurs nous a fait part de son sentiment : « J'ai été très frappé par la différence de traitement des événement par la presse allemande qui s'est bien gardée de sauter sur l'hypothèse terroriste (…) contrairement à François Hollande qui, sans même attendre de savoir, a, dans son message de solidarité à Angela Merkel, parlé d' « attaque terro...

 

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