Tout le monde le dit : la méga-région ACAL (l’acronyme officiel pour « Alsace Champagne-Ardenne Lorraine ») est un « machin » qui ne ressemble à rien.  Une sorte de monstre institutionnel, un non-sens administratif décidé à Paris par un gouvernement qui a perdu le contact avec la population réelle. L’université d’été organisé ce samedi 29 août à Colmar par la Denkfabrik « Initiative Citoyenne Alsacienne 2010 » a permis à quelques partis politiques de s’exprimer sur la question. Surprise : tous regrettent mais (presque) tous s’y résignent !
Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées toute une journée pour réfléchir à l’avenir de l’Alsace. Des universitaires, des acteurs de la société civile, des citoyens et des représentants de quelques partis en lice pour les prochaines élections régionales.
Ces derniers partagent l’analyse des différents spécialistes (géographes, juristes, etc.) sur l’absurdité de cette méga-région :
Jean-Marc Riebel, des Verts, considère l’ACAL comme « un...

 

Pour accéder à l'article, merci de vous identifier, ou soutenez-nous en vous abonnant ICI.