Pas de trouble "manifestement illicite", ni de "dommage imminent" à ce que l'UMP  s'autobaptise "Les Républicains", si l'on en croit du  moins le tribunal de grande instance de Pais statuant en référé, c'est à dire en urgence,  mardi 26 mai.
Il n'a donc pas suffi aux avocats des 144 citoyens français et de 4 associations et partis politiques  contestant ce droit à ce nouveau nom pour le parti présidé par Nicolas Sarkozy d'évoquer Valmy et le Vercors ou de rappeler que la République est "un combat de tous les instants" contre "les vices privés qui minent les vertus publiques" et qu’ "on ne se sert pas piteusement de sa générosité [de la République] ni "qu' on ne saurait abuser honteusement du bien public" pour convaincre les juges qu'il y avait effectivement péril grave et imminent. dans ce changement de nom.
Captation d’héritage
Dans sa plaidoirie le premier avocat  des demandeurs rappelait que "les républicains" est une "marque hors commerce" car le mot appartient à tous les cito...

 

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