En 2007, un article que j’avais écrit pour le bulletin syndical du Sfa-Cgt (Syndicat Français des Artistes-Interprètes), intitulé « le spectacle vivant amateur en Alsace », avait atterri sur le bureau du Directeur Régional des Affaires Culturelles, relayé à son intention par le Ministère de la Culture et de la Communication. Le directeur en question convoqua alors une réunion associant les conseillers de la DRAC, les représentants régionaux et départementaux du Ministère du Travail, un responsable de l’Agence Culturelle d’Alsace et moi-même.
Au fil de la discussion, j’évoquais à titre d’exemple le cas d’un spectacle qui venait de tourner dans toute la région, une opérette d’Offenbach, montée par une troupe lyrique d’amateurs d’Obernai, avec le soutien du Conseil Régional et dont la diffusion s’était effectuée à grand renfort de publicité professionnelle, les tarifs pratiqués l’étant tout autant. Le conseiller musique de la Drac qui me demanda, narquois, ce que j’avais à l’enco...

 

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